Les Belgian Dermatology Days (BDD) se sont déroulées les 23 et 24 mars. Cette année, le choix s’était porté sur le Bruges Meeting and Convention Centre, à un jet de pierre du centre historique de Bruges, où s’est déroulée une soirée de congrès réussie. Durant les deux jours de congrès, pas moins de 500 inscriptions ont été comptabilisées.
Moments forts au cours de l’EADV, les sessions de late-breaking news avaient sélectionné 36 études, parmi lesquelles 16 avaient trait à la dermatite atopique, la plus fréquente des maladies cutanées inflammatoires (sa prévalence est de 20%), et au psoriasis.
La dermatologie belge a démontré toute sa richesse lors de la première partie de la journée du vendredi 10 mars: la présentation de cas cliniques ou de recherches («Clinical Pearls and Belgian Research»), en provenance de toutes les universités belges et de Saint-Pierre, a été suivie par les exposés des médecins ayant défendu leur thèse cette année.
Grand classique des Journées Dermatologiques de Paris, la session «Quoi de neuf?» a encore cartonné en termes d’audience au cours de ces JDP virtuelles en passant au crible de la subjectivité des présentateurs la clinique, la recherche, la pédiatrie, l’oncodermatologie, la dermatologie instrumentale et les rapports entre médecine interne et dermatologie.
Progresser, c’est aussi douter ou, à tout le moins, se poser des questions. L’EADV (European Academy of Dermatology and Venereology) l’a bien compris en programmant plusieurs sessions Controversies lors de son édition virtuelle de 2020.
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